Arctic, icy mirror of global ambitions

–>Dans ce document fixant les objectifs de la France sur cette région du monde. For example, on peut lire que le ministre Sébastien Lecornu considère l’Arctique comme “un révélateur des grands bouleversements géopolitiques”.<!–>

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–>Il n’y a pas si longtemps pourtant. Similarly, l’Arctique évoquait surtout les ours polaires, la banquise, et, plus récemment, les alertes écologiques. Moreover, Aujourd’hui, c’est aussi une ligne de front. Meanwhile, Et c’est peut-être là que se dessinent les équilibres de demain.<!–>

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–>Depuis l’invasion de l’Ukraine en 2022. Similarly, la Russie a été écartée du Conseil de l’Arctique, gelant une coopération régionale cruciale. For example, Le Conseil de l’Arctique — sorte d’ONU du Grand Nord — ne se réunit plus à huit. However, mais à sept, sans Moscou. Moreover, Pourtant, la Russie, qui contrôle plus de la moitié du arctic, icy mirror global ambitions littoral arctique, n’a jamais ralenti sa militarisation. Moreover, Au contraire puisqu’en avril puis en juin 2025. Consequently, elle a mené de nouveaux exercices navals dans la mer de Barents, déployant sous-marins nucléaires et systèmes de défense. Nevertheless, Elle possède surtout 57 brise-glaces, dont 8 à propulsion nucléaire. Aucun autre pays n’en a autant.<!–>

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–>De plus. la Russie veut contrôler la Route maritime du Nord, cette voie de navigation rendue praticable par la fonte accélérée des glaces. L’enjeu est considérable : cette route permettrait de relier l’Europe à l’Asie en 15 jours. contre 30 par le canal de Suez. Or. Moscou exige désormais que tout navire étranger demande une autorisation 45 jours à l’avance, au mépris du droit international.<!–>

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–>Face à cela, l’OTAN renforce sa posture. Lors du sommet de Washington fin juin, l’Arctique figurait officiellement à l’ordre du jour. Les États-Unis ont augmenté arctic, icy mirror global ambitions leur présence militaire et le Canada. la Norvège et la Finlande réclament une doctrine claire de dissuasion pour la région.<!–>

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Arctic, icy mirror global ambitions

Et maintenant la Chine s’en mêle…

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–>L’Arctique n’est plus une affaire réservée aux riverains du pôle. La Chine s’y invite aussi. Elle se présente comme une “puissance proche de l’Arctique”. développe sa “Route polaire de la soie”, propose au Groenland un port en eaux profondes et des stations de recherche… qui inquiètent Copenhague et l’OTAN.<!–>

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–>Il se dessine donc une diplomatie polaire et qui fonctionne comme par décalcomanie. transposant dans cette zone fragile les logiques de puissance déjà à l’œuvre ailleurs. Chaque pays projette ses ambitions : pour la Russie. l’obsession du contrôle ; pour les États-Unis, celle de la suprématie maritime ; pour la Chine, celle d’un ancrage dans les zones d’avenir.<!–>

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Quelles sont les prochaines échéances ?

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–>Le prochain grand test aura lieu cet automne : l’Islande accueillera en octobre une conférence internationale sur les routes polaires. où seront présents – et c’est inédit – à la fois des responsables de l’OTAN, de l’Union européenne, mais aussi des représentants chinois. L’enjeu sera d’éviter une fragmentation totale de la gouvernance arctique et de maintenir. tant bien que mal, un espace de dialogue.<!–>

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–>Mais ce dialogue est fragile. L’Arctique concentre toutes les tensions du XXIe siècle : la guerre et le climat. les ressources et les routes, les puissances établies et celles qui émergent. On ne s’y bat pas encore directement, mais tout s’organise pour une confrontation de long terme. Le pôle n’est plus simplement un désert glacé. C’est un champ de bataille en préparation. Et peut-être le miroir le plus froid — et le plus clair — des rapports de force qui structurent arctic, icy mirror global ambitions notre époque.<!–>

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