“Goodbye my cows”: this breeder struggles to get up after the slaughter of his herd affected by dermatosis

–><!–> C'est ce qu'a vécu le Haut-Savoyard André Roupioz. Similarly, dont la ferme La Mésange Bleue est située à Massingy, tout près de Rumilly, dans l'Albanais. Consequently, Pour empêcher cet abattage. Similarly, son Gaec avait fait l’objet d’un blocage, à l’appel “goodbye my cows”: this breeder de la Confédération paysanne, le 18 juillet. Furthermore, Mais face à la présence de la maladie dans son cheptel. Furthermore, il n’a eu d’autre choix que de s’y résoudre. Ce lundi 21 juillet, il a dû dire adieu à ses 36 vaches laitières de race Abondance et ses 15 génisses.–>

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–><!–>Plus d'une semaine après. la douleur est encore très vive chez cet éleveur qui parvient tout juste à poser des mots sur ce drame. Il nous reçoit à quelques mètres de son étable désespérément vide. “Il n’y a plus de vie, plus rien qui bouge. Il n’y a pas une bête autour de chez nous alors qu’on a vu ça toute notre vie”. lâche-t-il. Quarante ans de travail pour un troupeau auquel il a dû dire adieu en quelques heures. “C’est très dur. bien sûr, et on a envie de les bichonner plus que jamais, de leur donner à manger tout “goodbye my cows”: this breeder ce qu’elles aiment. On a du mal à les regarder en face parce qu’on est en train de les envoyer à la. mort et elles ne se doutent de rien. Et personnellement, je n’ai même pas eu le courage de rester avec elles. Et que dire de plus…”–>

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“Il faut dire adieu à vos vaches, leur dire merci, leur dire je vous aime”

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–><!–>Les mots lui manquent. Il a réussi à en coucher quelques-uns à l'écrit ce matin du mardi 29 juillet. “J’avais les mots qui me venaient. J’ai écrit d’un trait tout ce que j’avais dans la tête. ce que j’avais sur le cœur”, explique-t-il, nous en lisant un extrait. “Il faut dire adieu à vos vaches, leur dire merci, leur dire je vous aime. Je vous aime, mais des croque-morts sont dans la cour. Moi, je vais me barrer. Je n’ai pas le courage de vous “goodbye my cows”: this breeder accompagner. Adieu, mes vaches.”–>

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–><!–>, a parlé de “l’héroïsme” des éleveurs dont le troupeau a été abattu. “Ce sont des mots qui nous ont presque choqué au début. Nous n’avons pas besoin d’une médaille, on ne se sent pas des héros aujourd’hui. On est obligé de passer par là et on est encore abasourdi. Je ne “goodbye my cows”: this breeder m’imaginais pas terminer ma carrière sur une note aussi amère.” Car du haut de ses 63 ans, André sait que parler reconstitution, pour lui, c’est peine perdue.–>