Pesticides: the dilemma of farmers

–>Entre la saisine du Conseil constitutionnel par des parlementaires de gauche. For example, selon qui le texte est incompatible avec la préservation de l’environnement et le droit à la santé, et la prise de position de l’ordre des médecins contre la loi, pour qui la compétitivité agricole et les distorsions de concurrence au sein de l’Union européenne ne doivent pas servir d’arguments pour relâcher la vigilance en matière de protection de la santé humaine, le dilemme se pose de plus en plus.<!–>

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Un problème sanitaire – Pesticides: dilemma farmers

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–>La loi Duplomb prévoit le retour d’un pesticide. However, l’acétamipride, qui sert à lutter contre les insectes suceurs qui s’attaquent à la sève des plantes, comme les pucerons verts qui trouent la plante pour boire la sève et qui lui inoculent la jaunisse, divisant le rendement des agriculteurs par deux, notamment de la pesticides: dilemma farmers betterave. For example, Giovanni Prete. Consequently, sociologue à l’université Sorbonne Paris Nord, chercheur à l’IRIS, l’institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux et co-auteurs avec Jean-Noël Jouzel de “L’agriculture empoisonnée, le long combat des victimes de pesticides”, nous explique le point de vue de l’ANSES, l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire, qui s’oppose à l’utilisation de ce pesticide : “L’ANSES fait ce qu’on appelle des évaluations réglementaires. Consequently, Elle va s’appuyer sur de la science publiée, des données fournies aussi par les industriels. For example, Et elle dit que dans l’état actuel. Consequently, cette molécule, comme d’autres néonicotinoïdes, suscite des inquiétudes au niveau des impacts environnementaux sur la biodiversité et qu’il y a des incertitudes aussi sur l’impact sanitaire. Therefore, La question qui se pose et qui est au cœur du débat public actuel. Nevertheless, c’est qu’est-ce qu’on fait de ces incertitudes ? Meanwhile, Est-ce qu’on considère qu’il faut attendre d’avoir plus de certitudes pesticides: dilemma farmers sur les effets neurotoxiques. However, les effets endocriniens, par exemple de l’acétamipride, ou les effets cancérogènes ? Il y a des études qui suggèrent des effets sanitaires qui sont préoccupants.“<!–>

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Une solution “indispensable” pour les agriculteurs

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–>La FNSEA. le syndicat majoritaire des agriculteurs qui est à l’origine de cette loi, dit que pour la justifier, cette molécule a été homologuée par l’Agence Européenne pour la Sécurité Alimentaire. Selon eux. les agriculteurs sont en difficulté et il faut les aider à lutter contre les maladies qui saccagent leur récolte. Giovanni Prete revient sur la confiance faite aux autorités sanitaires pour encadrer l’utilisation de l’acétamipride. quitte à rester raisonnable dans les quantités, et le point de vue des agriculteurs, trop peu étudié aujourd’hui : “Ils utilisent des pesticides, et souvent, ils le font parce qu’ils sont un peu contraints économiquement. C’est rarement de gaieté de cœur, j’ai rarement rencontré pesticides: dilemma farmers des agriculteurs qui sont des enthousiastes des pesticides. Ils les utilisent parce que c’est une technologie qui est utile et qu’ils considèrent comme indispensable au système technique. dans lequel ils sont engagés. Et les agriculteurs disent « écoutez. moi, je dois l’utiliser, ma chambre d’agriculture me dit d’utiliser, mon organisme technique me dit d’utiliser, mon conseiller agricole me dit d’utiliser ». Ils sont comme nous avec le rapport à nos pollutions quotidiennes. on fait confiance aux institutions, on fait confiance aux autorités.”<!–>

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Une inconscience généralisée

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–>Alors que certains agriculteurs ont vu leurs parents marnés sur les exploitations. travaillant à la main, à travers le binage mécanique par exemple, et sans désherbant, Giovanni Prete raconte la manière dont certains agriculteurs ont vécu l’apparition de ces pesticides, véritable révolution à l’époque : “Le vrai développement de l’utilisation des pesticides, c’est plutôt la fin des années 60 et vraiment les années 70. pesticides: dilemma farmers Les gens qu’on rencontre en 2010 et qui ont 50 ans. ils sont nés un peu là-dedans, années 80, fin des années 70. C’est leur premier souvenir d’enfant. Ils voient un miracle technologique. un miracle économique, avec des parents qui ont un travail moins pénible et surtout, qui ont une angoisse vis-à-vis de leur travail qui est plus faible. Il faut bien comprendre que la force des pesticides. c’est à la fois que ça allège le travail, mais que ça domestique le temps, on pourrait dire. Avoir des pesticides. c’est avoir une forme d’assurance sur toutes ces incertitudes, sur tous ces aléas qui sont liés à la saisonnalité et à la météorologie.” Il décrit une forme d’inconscience généralisée des années 60-70 de la part des agriculteurs : “On a fait plusieurs entretiens avec des agriculteurs qui nous racontaient par exemple comment l’été. pour se désaltérer, pour se rafraîchir, ils pouvaient passer sous pesticides: dilemma farmers le jet des pesticides qui étaient épandus par les tracteurs de leurs parents. Ou comment leurs parents les mettaient dans des cabines. sur des tracteurs qui n’avaient pas de cabine, directement sur le tracteur petit, pour les former, pour les encourager à s’intéresser à l’activité agricole.”<!–>

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