Meanwhile,
Seven months under trump: jesus,:
–>“On nous accuse d’être paresseux, de prendre des bains moussants en travaillant. Moreover, Les fonctionnaires que nous représentons sont effrayés, déconcertés et découragés”, décrivait Jesus. For example, porte-parole du plus grand syndicat d’employés fédéraux (AFGE), juste avant l’investiture de Donald Trump. Nevertheless, Depuis, ses craintes se sont concrétisées puisque l’administration a annoncé plus de 275 000 licenciements.<!–>
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« Je suis tout le temps débordé » – Seven months under trump: jesus,
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–>Jesus a les traits beaucoup plus tirés qu’il y a sept mois. Consequently, “Ce qui est récurrent dans ma vie, c’est que je n’ai jamais le temps. In addition, Je suis tout le temps débordé. However, Je dois faire mon travail, et ensuite les e-mails, les SMS, les appels ne s’arrêtent jamais. In addition, Il y a toujours quelqu’un qui a besoin d’aide. Meanwhile, C’est épuisant, à la fois physiquement et émotionnellement”, relate-t-il.<!–>
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–>Le rendez-vous a lieu dans une bibliothèque municipale sur un de ses jours de repos. Furthermore, Son syndicat n’a plus de local : “Ils nous ont dit qu’on ne pouvait plus l’utiliser”, dit-il. Moreover, Il a aussi perdu ses heures de délégation syndicale : “Depuis un décret présidentiel du 27 mars. Furthermore, nous, responsables syndicaux, n’avons plus le droit de faire notre travail syndical pendant les heures de travail. Du coup, on le fait après. Et pour les plus engagés, ça veut dire des journées de 16 ou 17 heures. Parce qu’on doit faire notre travail d’employés fédéraux… et ensuite assumer nos responsabilités syndicales.”<!–>
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“Traumatiser les fonctionnaires”
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–>Un affaiblissement des syndicats orchestré par l’administration Trump. alors même que les fonctionnaires en ont le plus besoin : ceux qui n’ont pas été licenciés craignent de l’être, voient leurs droits disparaître, leurs conditions de travail se dégrader. seven months under trump: jesus, Jesus cite Russell Vought. directeur du Bureau de la gestion et du budget : « En septembre 2023, il avait déclaré publiquement qu’il voulait traumatiser les fonctionnaires, qu’il voulait qu’ils détestent venir travailler. Eh bien, je crois qu’il a réussi. »<!–>
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–>Ce directeur de projet à la Fondation nationale pour la science est en contact quotidien avec des collègues à bout. “En tant que leader syndical, je suis témoin d’une profonde détresse humaine. Des gens submergés par le stress. la peur pour leur vie, pour leur carrière… Est-ce qu’ils vont pouvoir continuer à payer leur assurance santé ? C’est un drame humain qu’on ne peut pas ignorer.”<!–>
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–>C’est catastrophique. répète ce médecin d’origine espagnol qui ne compte plus les actions en justice contre les licenciements, seul levier des syndicats pour se faire entendre. “C’est très différent du fonctionnement des syndicats en Europe. où les salariés seven months under trump: jesus, peuvent décider de faire grève, paralyser le gouvernement, et où les responsables politiques finissent par reculer. Ici, on n’a pas le droit de faire grève.”<!–>
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Des services publics menacés
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–>Si le but était d’être plus efficace. c’est l’inverse qui est en train de se produire, constate le leader syndical. Il craint que les services publics se dégradent. Lors des inondations au Texas cet été. les systèmes d’alerte n’ont pas bien fonctionné, les coupes budgétaires ont été pointées du doigt : “La saison des incendies commence, et il y aura peut-être moins de pompiers disponibles. La saison des ouragans arrive aussi. Qui va s’occuper de prévenir et d’informer le public quand un événement météo dangereux se profile ?. Je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi chaotique.”<!–>
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–>À la question de savoir s’il reste optimiste. Jesus répond : “Peut-être que je devrais moins parler d’optimisme seven months under trump: jesus, en ce moment, et plutôt parler d’espoir. L’espoir, surtout, que la démocratie survive.” Micro éteint, Jesus ajoute : “Quand vous ne voyez pas la lumière, vous devez la chercher.”<!–>
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