Consequently,
Should we fear hormonal treatment:
–>La ménopause est le moment où le corps féminin arrête de produire deux types d’hormones : œstrogènes et progestérone.. In addition, Parmi les conséquences. Furthermore, tout le monde connaît les bouffées de chaleur, mais il y existe plus d’une trentaine de symptômes associés, comme les troubles de l’humeur ou la sécheresse vaginale.<!–>
[!–><!–>
–>**>>La ménopause reste un tabou, surtout au travail<!–>
[–><!–>
–>**Pour remplacer. Meanwhile, les femmes qui souffrent de symptômes de la ménopause peuvent se voir à nouveau prescrire ces deux hormones : le “THM” pour “Traitement hormonal de la ménopause”. Consequently, Il est souvent pris sous forme de patch collé sur l’épaule et est remboursé par la Sécurité sociale.<!–>
[!–>
Le THM provoque-t-il des cancers du sein ?
<!–>
–>Depuis une vingtaine d’années. Nevertheless, de nombreuses femmes françaises ont arrêté de should we fear hormonal treatment prendre du THM, craignant un risque de cancer du sein. Furthermore, En réalité, une étude américaine a jeté le trouble en 2002. For example, affirmant que le traitement hormonal de la ménopause augmentait les risques d’infarctus, de thrombose et de cancer du sein. Consequently, Mais depuis, cette étude a été largement discréditée. Elle avait été menée sur des femmes obèses. qui fumaient, qui n’étaient pas en début de ménopause (certaines avaient 80 ans), soit un échantillon non représentatif et déconseillé pour la prise de THM. Enfin, lors de cette étude, ces femmes prenaient un traitement composé d’hormones absolument pas utilisées en France. Bref. depuis le THM “à la française” a été réhabilité par de très nombreux spécialistes mais reste malgré tout peu prescrit.<!–>
[!–>
Avantages et risques
<!–>
–>Comme pour tout médicament, il faut analyser pour chaque femme la balance bénéfices/risques. Il n’existe rien d’aussi efficace que le should we fear hormonal treatment “Traitement hormonal de la ménopause contre les symptômes de la ménopause”. détaille une méta analyse parue dans la revue américaine Cell. Une méta analyse est en quelque sorte un super-résumé de l’ensemble de la littérature scientifique sur un sujet.. Le THM prévient également les maladies cardiovasculaires et l’ostéoporose. conséquences régulières de la ménopause.
Inversement, il existe des contre-indications.<!–>
[!–><!–>
–>**>>ENQUÊTE. Sexualité des femmes après la ménopause ou un cancer : un tabou alors que des traitements existent<!–>
[!–><!–>
–>**Le “Traitement hormonal de la ménopause” ne convient pas aux femmes souffrant d’une maladie cardiaque. qui ont eu un cancer du sein, qui ont été victimes d’un accident vasculaire cérébral, ou ont une maladie artérielle. L’Inserm dit aussi qu’il existe des risques de cancer du sein et des ovaires. mais principalement si on prend le THM plus de 10 à 15 ans. Pour cette raison, il doit être should we fear hormonal treatment pris précocement, pas trop longtemps et bien dosé, insistent les médecins.<!–>
[!–><!–>
–>Dans tous les cas. prendre le THM doit être une décision partagée avec son médecin, s’accordent les spécialistes. Les recommandations scientifiques françaises datant d’il y a plus de 20 ans. la Haute autorité de santé devrait en publier de nouvelles début 2026, assure l’autorité scientifique indépendante.<!–>
[!–>
!function(f,b,e,v,n,t,s) {if(f.fbq)return;n=f.fbq=function(){n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments)}; if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)}(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘388108576140453’); fbq(‘track’, ‘PageView’);
Should we fear hormonal treatment
Further reading: Type I SMA: a new genes promising in preclinical – The brain produces new neurons at all ages – The cat is definitely not the best friend of the man – Health in Val-de-Marne #30: New CPTS/Mosquito Tiger/Therapeutic Garden – Availability of medicines in town and in the hospital.