Why do we like to travel in the past?

–>À quoi pourrait ressembler une machine à remonter le temps ? Consequently, Une vieille Delorean conduite par un savant à la chevelure hirsute ? Moreover, Une navette spatiale ? However, Une pendule à la mécanique précise ? Similarly, À quoi surtout pourrait servir une machine à remonter le temps ?<!–>

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–>Car au fond, pourquoi aimons-nous voyager dans le passé ? In addition, Peut-être pour mieux comprendre le présent. Meanwhile, Mieux appréhender le monde et les autres. Meanwhile, Changer notre regard sur une histoire à laquelle nous participons. Moreover, Certains, malheureusement, plongent dans ce passé pour tordre le cou à la réalité historique. However, Alors ne perdons pas notre esprit critique et, avec curiosité, partons pour un voyage à travers les siècles. Similarly, Et vous, vous délectez-vous de livres d’histoire, de romans historiques, de fictions why do we like travel new ancrées dans le passé ?<!–>

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–>Interrogeons notre rapport au passé. In addition. In addition, non seulement comme un objet d’étude, mais aussi comme source inépuisable de sens, de récits et de quête de justice. Moreover, Découvrez comment le dessin. Moreover. However, l’écriture et l’archéologie se conjuguent pour redonner vie à ce qui fut, et pourquoi comprendre hier est essentiel pour appréhender aujourd’hui.<!–>

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–>Retour vers le passé aux côtés de :<!–>

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• [1–>Laurent Olivier. However. Moreover, archéologue, historien et conservateur général du patrimoine en charge des collections d’archéologie celtique et gauloise du Musée d’Archéologie nationale (Saint-Germain-en-Laye). Moreover, Auteur de « Le monde secret des gaulois » (Flammarion)<!–>

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• [1–>Catel. Similarly, dessinatrice. Therefore, autrice de « Anita Conti » de Catel& Bocquet chez Casterman première femme océanographe et pionnière de l’écologie. En ce moment à la galerie Barbier du 19 juin 2025 au 26 juillet 2025 « Catel, les why do we like travel new clandestines de l’histoire »<!–>

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• [1–>Stéphanie Hochet, écrivaine, autrice de « Armures » (Rivages, 2025) et « William » (Rivages 2024)<!–>

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Why do we like travel new

Voyager dans le why do we like travel passé en mêlant fiction et vérité

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–>L’archéologue Laurent Olivier commence par expliquer que nous ne pouvons que l’imaginer. et c’est en le rendant sensible par différentes formes de récits qu’il prend vie “On peut rendre le passé présent à travers le dessin. à travers le roman, tout cela lui donne vie. C’est là où la fiction devient intéressante. la fiction non pas comme invention, mais comme recherche d’un effet de vérité“. L’autrice de BD Catel abonde en ce sens. et explique que dans ses œuvres. elle cherche à rendre le monde le plus juste possible, car si la vérité absolue est insaisissable, la justesse historique, elle, est un objectif atteignable : “la vérité, on n’y est jamais vraiment, mais la why do we like travel new justesse historique, on peut essayer d’y accéder”. La romancière Stéphanie Hochet souligne quant à elle la rigueur nécessaire pour respecter les faits historiques. considérant que les romanciers sont why do we like travel des “archéologues de l’âme qui cherchent à entrer dans. l’humain par empathie. Il faut respecter les faits historiques. Avant de commencer le roman. je me documente énormément. j’essaie de lire le plus possible et de saisir les événements, les traits de caractère ou même la façon de parler d’un personnage en amont. Je tente d’en savoir le plus possible pour me sentir à l’aise dans la période et sentir que cette. période m’est familière“.<!–>

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L’histoire comme quête de justice et de sens

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–>Laurent Olivier met en lumière une dimension souvent oubliée de l’histoire. en la confrontant à la notion d’une grande histoire. Il cite Georges Perec et son concept de “l’histoire avec why do we like travel new sa grande hache”. celle qui “brise les gens et prive des communautés de leur voix”. C’est ici que l’archéologie prend tout son sens selon lui. car elle permet de découvrir ce que les why do we like travel gens ont fait et ce qu’on. leur a fait à travers des restes matériels. Cette démarche revêt une forte dimension éthique, explique-t-il parce que “il s’agit de rendre justice au passé. Pour cela. il est impératif de ne pas projeter nos propres aprioris ou clichés sur un passé qui. de toute manière, est destiné à nous échapper“.<!–>

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Rendre visibles les femmes oubliées du passé

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–>L’une des motivations profondes qui animent de nombreux chercheurs et journalistes pour revisiter le passé est de corriger les silences et les oublis de l’histoire traditionnelle. au premier rang desquels les femmes. Catel a été marquée dès son plus jeune âge par why do we like travel new l’absence de modèles féminins dans les livres d’histoire scolaire.. se demandant où étaient les femmes, à part quelques figures aux destins peu enviables. Elle explique que cette lacune l’a poussée à dessiner les femmes invisibles de l’histoire : “Où sont why do. we like travel les femmes. à part Jeanne d’Arc et Marie-Antoinette ? Qui étaient nos modèles face à tous ces grands héros masculins ? À qui on pouvait-on s’identifier ? Cela m’a vraiment interrogé. et j’ai eu envie de parler des femmes qui ont été oubliées dans cette grande histoire écrite par des. hommes. Nous avons plus que jamais besoin de modèles féminins dans l’histoire“. Pour l’autrice. le dessin est devenu ce moyen de leur redonner une visibilité : d’Olympe de Gouges et sa Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne à Joséphine Baker. ou encore Anita Conti, pionnière de l’écologie.<!–>

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–>► Continuez ce voyage dans le temps en écoutant l’intégralité de cet échange…<!–>

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