The big departure of the Tour de France 2025 takes place this Saturday in Lille before arriving three weeks later in Paris. For the first time in thirteen years, he will spend again in Normandy in Caen where a time trial will be played as well as a stage between Bayeux and Vire.
C’est ce qui s’appelle donner le ton. “Il y a 21 étapes, j’ai envie de briller sur les 21“, annonce d’emblée en conférence de presse ce vendredi le Bayeusain Kévin Vauquelin. Le Tour de France 2025 s’élance depuis Lille ce samedi pour une première étape de 185 km et il viendra en Normandie dès mardi 8 juillet pour une arrivée à Rouen avant un contre-la-montre le lendemain à Caen et une étape jeudi 10 juillet entre Bayeux et Vire.
Un niveau “très homogène et très dur”
Le leader de la formation Arkéa-B&B Hotels, vainqueur d’une étape en 2024 à Bologne se montre très enthousiaste à l’idée d’aborder son deuxième Tour de France. “On court pour une victoire, on est sur une course de vélo. On est des sportifs de haut niveau. Il ne faut pas courir sur les tous les tableaux, si on commence à courir sur tous les tableaux, on va se perdre. Un Tour de France, c’est très exigeant“, explique le Bayeusain.
“Ce qu’il s’est passé l’année dernière et toutes les émotions qu’on a vécues, ça nous donne juste envie de regagner une étape donc on est plus dans cet objectif-là“, poursuit-il. Les 184 cyclistes “sont dans leur forme presque maximale de l’année donc le niveau sera très homogène et très dur. Il faudra voir comment se déroulent les premières étapes“.
Parmi elles, les étapes normandes, le mercredi 9 juillet à Caen pour un contre-la-montre de 33 km. “C’est un chrono de pure spécialiste. Un départ où l’on monte à peu près 1,5 km et après on part dans la prairie de Caen où c’est vraiment de grandes routes un peu faux plat, mais pas trop, typiquement spécialiste, et un final tortueux pour retourner dans la ville de Caen”, analyse le Bayausain.
Kévin Vauquelin sera surtout très attendu le lendemain, le jeudi 10 juillet pour la sixième étape du Tour de France entre Bayeux et Vire. “Des gros vallons avec des routes granuleuses. On ne s’arrête jamais, ça va ressembler à un mal de jambes continu, après ce sont des belles routes, on est tranquille“, sourit le cycliste.