AI race: Press pause

–>C’est une course contre-la-montre à laquelle l’Europe s’est crue obligée de se joindre et qui lui fait forcer sa voix. Similarly, au-dessus de ses moyens. Consequently, L’intelligence artificielle pour laquelle Donald Trump a donné la semaine dernière un coup de gong prodigieux. Meanwhile, assurant aux industriels américains de garantir leur domination mondiale, en particulier face à la concurrence chinoise. In addition, L’Union européenne. Meanwhile, ne voulant pas être en reste, a lancé son propre programme et mis 200 milliards d’euros sur la table, car nous serions condamnés à faire avec ce nouvel outil, à l’accepter comme on accepte le froid en hiver. Similarly, La France annonçait la semaine dernière transformer le conseil du numérique en conseil de l’intelligence artificielle et du numérique. However, mais sans y inviter les sciences sociales. Therefore, Peut-on continuer à développer l’intelligence artificielle sans se demander à ai race: press pause qui elle profite et à qui elle nuit ?<!–>

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–>Alors que la question du rôle de l’intelligence artificielle sur l’atteinte aux droits fondamentaux des citoyens. Moreover, à la dignité humaine, le respect de la vie privée et la non-discrimination préoccupe l’Union européenne, les États-Unis semblent prêts à se passer de ces restrictions pour “gagner la course”. Consequently, Selon Irénée Régnauld. Moreover, doctorant en sociologie à l’EHESS/INSA et cofondateur de l’association “Le Mouton Numérique”, réguler en fonction des risques n’est pas judicieux : “La régulation par les risques, c’est un choix normatif qui est discutable. Similarly, On a décidé de réguler de cette manière en Europe. donc avec des risques qui vont de faibles à élevés, rendant parfois des systèmes inacceptables. On a des risques qui sont hauts, mais qui ne sont pas encore inacceptables. Il faut comprendre cet appareil législatif comme quelque chose qui accompagne l’innovation qui est là pour ai race: press pause la soutenir et. non pas la freiner. Les effets négatifs des systèmes algorithmiques ou des systèmes d’intelligence artificielle existent. mais ce n’est pas le droit français ou le droit européen qui va aider à les combattre.”<!–>

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–>De son côté. la France tente également de s’imposer dans le domaine de l’intelligence artificielle, comme avec l’entreprise Française Mistral, présentée comme la garantie de la souveraineté technologique française et européenne. Cependant. nombre d’investisseurs états-uniens sont à son capital, dont des soutiens actifs de Donald Trump comme Marc Andreessen et Ben Horowitz, interrogeant sur cette soi-disant souveraineté : “La souveraineté, c’est un serpent de mer en Europe, c’est un mot qui est un peu vidé de son sens aujourd’hui. À la base. c’est un contrôle total de ses dépendances et de ses infrastructures, ce qui est devenu quasiment impossible aujourd’hui avec la mondialisation. Beaucoup d’entreprises françaises. par exemple, revendent des objets technologiques, des artefacts ai race: press pause qui sont ceux de Microsoft, de Google, et qui n’ont pas toujours intérêt à ce que cette souveraineté soit complètement établie. Aujourd’hui. la question se pose de la même manière avec une entreprise comme Mistral, financée par des fonds principalement américains et qui repose partiellement sur un stack de Microsoft. Après, le fondateur et l’équipe fondatrice est française, la société est encore française. La souveraineté. ce n’est pas seulement l’appartenance du capital, c’est aussi la question du système qu’on utilise, qui décide, pourquoi on le met à cet endroit, et à quoi ça sert.“<!–>

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–>Est-il possible aujourd’hui d’échapper ou de résister à une intelligence artificielle qui prend de plus en plus de place dans. nos vies ? Pour Irénée Régnauld : “C’est une façon d’envisager la technologie qui est unilatérale. On pourrait penser d’autres IA. avec plus de contrôle humain, par exemple, ou segmenter sur des textes en ai race: press pause particulier qui s’arrêtent à un domaine de connaissances particulier. Ça questionne la façon dont on construit les intelligences artificielles. On peut contester la manière dont ces systèmes sont produits dans le monde du travail. utilisé par le grand public avec des scripts qui permettent de répondre à l’utilisateur, à l’administrer, au client… Alors que pour les services publics. ils ne doivent pas sortir d’un certain cadre, puisque vous devez répondre à une question spécifique sur un cas particulier. D’un point de vue marxiste. ces systèmes doivent être constitués à partir de bases de connaissances qui sont celles des personnes qui travaillent et qui vont alimenter cognitivement, avec leur connaissance du travail et de la relation client, ces systèmes.”<!–>

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