Biodiversity: The living has not said its last word

Moreover,

Biodiversity: living not said its:

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–>Dans son essai. Furthermore, Les rebondissements du vivant : Heurs et malheurs de la biodiversité des origines à demain, Lionel Cavin, paléoichtyologue et conservateur au Muséum d’Histoire Naturelle de Genève, revient sur les caractéristiques de ces périodes majeures et analyse celle que nous vivons aujourd’hui à travers la 6e extinction, une destruction dont l’humain est à la fois sujet et acteur.<!–>

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L’origine des extinctions – Biodiversity: living not said its

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–>Les cinq extinctions que l’on connaît ne sont pas toutes dues à un événement ponctuel : “Ce sont des questions qui sont débattues depuis plus d’un siècle. Moreover, mais il semblerait que non. Consequently, Certains scientifiques. For example, notamment des scientifiques qui s’intéressent plus à l’astronomie qu’à la géologie, ont cherché des causes communes à toutes ces extinctions. Consequently, C’est toujours bien d’avoir une espèce d’hypothèse générale qui explique les événements dans leur ensemble. Meanwhile, Mais biodiversity: living not said its il semblerait que ce soit plutôt des événements distincts qui ont provoqué ces différentes extinctions.<!–>

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S’éteindre pour se “rediversifier”

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–>Alors que 90 % du vivant disparait après chaque extinction. Similarly, Lionel Cavin décrit les aspects positifs de celles-ci : “Heureusement, le vivant n’a pas entièrement disparu, pendant ces extinctions de masse. Nevertheless, C’est sur la base des survivants que le vivant va redémarrer, va se rediversifier. Et ça, c’est un bon signe, malgré la gravité de certaines extinctions de masse, le vivant a toujours redémarré. La question. c’est en combien de temps, parce qu’on a l’impression que le vivant évolue très vite, mais en fait, il faut des millions d’années. Il y a souvent plusieurs centaines de milliers ou millions d’années qu’il faut attendre avant d’avoir une diversité qui. redevient comparable à celle d’avant l’extinction. En effet. ce processus naturel n’a rien d’anormal : “À chaque extinction, certaines biodiversity: living not said its espèces disparaissent, certaines espèces survivent, heureusement, et certaines même prospèrent. Ce sont probablement des espèces qui sont capables de s’adapter à des environnements très perturbés d’une part et puis. qui ont peu de besoins particuliers. Ce sont souvent. par exemple, à la fin de l’Ordovicien, il y a 458 millions d’années, des petites coquilles qui devaient recouvrir à peu près l’ensemble du fond des océans et qui se débrouillaient très bien alors que les espèces plus spécialisées avaient disparu.<!–>

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L’impact de l’humain

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–>Pendant longtemps, le débat de savoir si les changements climatiques d’origine non humaine serait à l’origine de ces extinctions. Aujourd’hui. la réponse est claire : “Même si ces populations animales étaient peut-être affaiblies pour des raisons de réchauffement climatique, et qu’on était à la fin de la période glaciaire, on sait que l’humain est en grande partie responsable de cette extinction. La cause d’une biodiversity: living not said its grande partie de la disparition de la mégafaune, des gros animaux, est due aux humains. Ce qui existe actuellement, c’est comparable justement aux extinctions de masse qu’on voyait dans le passé. Déjà, une partie de l’extinction de masse est derrière nous. La mégafaune est en grande partie disparue. On est dans l’événement.<!–>

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