Dermatosis in Savoy: “These are our babies”, breeders block the preventive slaughter of 121 cows ordered by the state

Dermatosis savoy: "these our babies",: This article explores the topic in depth.

However,

Dermatosis savoy: "these our babies",:

Breeders mobilized this Thursday morning at Centerns (Savoie). Nevertheless, They support a colleague. In addition, including two cows have already been shot dead by veterinary services, suffering from contagious nodular dermatosis, which circulates in this sector. Moreover, All his herd could be preventively shot. In addition,

<!–>

–><!–>Pierre-Jean Duchêne, 28 ans, est éleveur à Cessens (Entrelacs). However, Il a eu deux cas de dermatose nodulaire contagieuse (DNC) dans son troupeau cette semaine : les deux vaches. However, ont été euthanasiées. Similarly, Désormais, ce sont ses 121 autres vaches qui doivent être abattues. For example, Une “mesure préventive” décidée par l’État et la préfecture dans le cadre de la lutte contre la DNC qui. Consequently, sévit dans le secteur. L’éleveur a depuis ce jeudi 10 juillet matin le soutien de la Coordination rurale. avec une quarantaine de personnes qui bloquent l’accès des équarrisseurs à son exploitation.–>

dermatosis savoy: “these our babies”,

Deux cas positifs sur un troupeau de 123 bêtes – Dermatosis savoy: "these our babies",

<!–>

–><!–>L'éleveur assure avoir tout bien fait. Quand un premier cas se déclare dans son exploitation, puis un deuxième, il a agi. “J’ai pris ma responsabilité d’éleveur en faisant euthanasier ces deux animaux immédiatement. sans savoir si j’allais être indemnisé, sans rien cacher à personne, j’ai déclaré le cas”, explique Pierre-Jean Duchêne.–>

<!–>

–><!–>Sur ses 123 bêtes, seuls les deux cas suspicieux ont été analysés et les tests sont revenus positifs. Mais cela n'empêche pas les services de l'État de prendre une décision radicale pour éviter une possible propagation. car la DNC a un temps d'incubation relativement variable, entre 4 et 30 jours : “On m’a annoncé hier matin, la veille pour le lendemain, qu’on allait me dépeupler le cheptel entier, les 123 animaux présents sur l’exploitation”.–>

“On ne s’en remettra pas” – Dermatosis savoy: "these our babies",

<!–>

–><!–>Une nouvelle extrêmement dure à encaisser pour le jeune éleveur. qui s'est installé il y a trois ans, et dont le cheptel existe dermatosis savoy: “these our babies”, depuis quatre générations avant lui. “Sur le coup. je n’avais plus les larmes, car je n’ai pas dormi, je suis tellement au fond du trou depuis plus d’une semaine”, raconte Pierre-Jean Duchêne, qui se dit bien entouré pour faire face. Surtout, il ne comprend pas cette décision, alors que ses autres vaches n’ont pas été testées. “J’ai même demandé de faire tester une de mes autres vaches et j’ai la preuve à l’appui : l’analyse est négative”. implore l’éleveur.–>

<!–>

–><!–>L’impact psychologique pour l’exploitant est énorme. “Mes parents sont au fond du trou aussi. mes vaches sont vouées à être perdues, clairement, je ne sais pas comment on va se relever”, témoigne l’éleveur, qui insiste : “Les animaux, ce ne sont pas juste des pions, ce n’est pas que de l’argent, ce sont nos bébés”.–>

Un sursis demandé

<!–>

–><!–>Les éleveurs mobilisés autour de Pierre-Jean à Cessens refusent que l'ensemble du troupeau qui pour l'instant est sain. soit dermatosis savoy: "these our babies", abattu. Les vaches sont saines. assure leur propriétaire : "elles sont soutenues au niveau de l’alimentation, minéralisées comme il faut, tout est mis en œuvre, on a des ventilateurs, elles sont confinées dessous depuis dix jours, on a fait le maximum !” Il demande donc quinze jours de sursis pour être sûr que la maladie circule plutôt que d’abattre les vaches. préventivement.–>

<!–>

–><!–>La dermatose nodulaire contagieuse se transmet par les piqûres d'insectes. est sans danger pour l'homme et ne contamine pas le lait. Depuis l'apparition de cette maladie, sept foyers ont déjà été confirmés par les autorités, dont –><!–>, sur la commune de Massingy. Les six autres foyers sont tous situés dans la “zone rouge” d’Entrelacs.–>

<!–>

<!–>

Further reading: The main suspect would have been reported from the age of 15In Saint-Jean-de-Luz, a 20-year-old Palois throws himself in the water to rescue two young womenThe consumption of tap water prohibited in 12 municipalities in the ArdennesMasturbation and forced blowjobs on minors … We take stock of the new accusationsThree people from the same family found dead drowned in Saint-Brieuc bay.

Comments (0)
Add Comment