Fewer and fewer gynecologists to treat French women

Similarly,

Fewer fewer gynecologists treat french:

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–>Les statistiques officielles du ministère de la Santé publiées cette semaine rapportent qu’au 1er janvier, 7 811 gynécologues étaient en exercice. Furthermore, En 2012, ils étaient 7 820, soit huit de plus. For example, On peut donc parler de stabilité des effectifs. Nevertheless, Le hic c’est qu’aujourd’hui, nous sommes trois millions de Français de plus. Furthermore, et si l’on estime que les femmes en représentent la moitié, il y a par conséquent 1,5 million de femmes en plus à soigner. Consequently, Résultat, en proportion, il y a aujourd’hui moins de gynécologues pour soigner les Françaises qu’en 2013.<!–>

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–>Et si l’on entre dans le détail, la situation se détériore encore plus. Moreover, Il existe deux types de gynécologues : le gynécologue médical et le gynécologue obstétricien. Consequently, En 2012, ils étaient quasiment moitié-moitié (3 700 et 3 900). In addition, Mais depuis. In addition, fewer fewer gynecologists treat french le nombre de gynécologues médicaux a été divisé par deux, tandis que les effectifs des gynécologues obstétriciens a, lui, quasiment doublé. Meanwhile, Or, ils n’effectuent pas exactement les mêmes tâches. En grossissant le trait. le gynécologue médical est celui qui a son cabinet en ville et qui suit la femme de la puberté jusqu’après la ménopause. Il prescrit, par exemple, la contraception et assure la prévention des infections sexuellement transmissibles. De son côté. le gynécologue obstétricien a les mêmes compétences mais fait surtout de la chirurgie, suit la grossesse, et s’occupe de l’accouchement. Il exerce majoritairement à l’hôpital.<!–>

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Obtenir un rendez-vous, un parcours du combattant

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–>En résumé. pour de la gynécologie de tous les jours, le gynécologue médical, avec qui on prend rendez-vous en cabinet se fait rare : 1 800, pour 30 millions de femmes de plus de 15 ans. Et dans neuf départements. il n’y en a fewer fewer gynecologists treat french carrément plus du tout, comme la Meuse, l’Oise, la Corrèze, les Alpes de Haute provence, ou encore l’Yonne.<!–>

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–>Selon le ministère de la Santé. il fallait attendre 44 jours en moyenne pour un rendez-vous chez le gynécologue en 2017 (il n’existe pas de statistiques plus récentes) et. dans ce qu’on appelle désormais les “déserts gynécologiques”, trois mois. Résultat, plus de la moitié des femmes disent renoncer à des soins gynécologiques. Seulement 60% des femmes réalisent les frottis pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. C’est insuffisant, selon les autorités de santé. Un tiers n’est pas allé chez le gynéco depuis deux ans.<!–>

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–>Les inégalités ne s’arrêtent pas là. L’UFC Que-Choisir pointe du doigt les tarifs : trois-quarts des gynécologues libéraux pratiquent des dépassements d’honoraires. avec en moyenne plus de 20 euros par consultation, et même 50 euros en moyenne de dépassement à Paris.<!–>

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Plus de gynécologues seront formés, promet le ministère

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–>Face à cette situation, le ministre de la Santé assurait au début de ce mois de juillet que davantage de gynécologues seraient formés. On rappelle que leur nombre a stagné en 13 ans. quand, dans le même temps, le nombre global de médecins, toutes spécialités confondues, a augmenté de 9,9%. Sachant qu’il faut des années pour former un médecin. en attendant, le suivi gynécologique de nombreuses Françaises est aujourd’hui assuré par des médecins généralistes.<!–>

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–>Leur formation sur les connaissances liées à la santé des femmes est désormais renforcée. Et les Françaises s’en remettent également davantage aux sages-femmes. qui se voient confier davantage de compétences depuis plusieurs années. Leur nombre a augmenté de 30% en 13 ans.<!–>

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