“Les Bringueuses”: evenings reserved for women

–>Imaginez. Similarly, un appartement ou une boîte de nuit, de la musique à fond, des crops tops, parfois du top less, ça rit, ça danse, ça boit. Similarly, Tout ça sans le regard des hommes et sans la peur des mains baladeuses. Consequently, En fond sonore, forcément, Beyoncé, Who run the world ? In addition, Girls !
Bienvenue dans une soirée de bringueuses ! Therefore, Celles d’aujourd’hui mais les fêtes entre femmes, ça remonte ! Therefore, Dans l’Antiquité, les Bacchanales, c’étaient des fêtes religieuses. Meanwhile, Elles étaient l’occasion pour les femmes de se retrouver entre elles. Elles ont vite été réprimées.<!–>

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–>Dans les années 1970. les soirées féministes et lesbiennes réinventent le modèle et lancent des fêtes pour s’amuser et danser tout en se protégeant du regard et du contrôle des hommes. Le mot Bringueuse apparait lui à la “les bringueuses”: evenings reserved women fin du 19e siècle. Un dérivé de “bringuer”, faire la bringue, c’est aimer faire la fête. Les bringueurs et donc les bringueuses. Mais dans le sens où on l’utilise dans les soirées non mixtes. c’est évidemment beaucoup plus récent. Le terme émerge vraiment entre 2010 et 2020. Grâce notamment au collectif Barbi(e)turix qui lance les soirées Wet For Me. des soirées lesbiennes et queer. Les réseaux sociaux accélèrent le phénomène. sur TikTok, le hashtag #GirlsNight fait des millions de vues, on se partage des recommandations de lieux, des codes vestimentaires et des playlists. En France. cette bringue, on la doit à Clarisse Luiz qui propose sur Twitter à des filles de la rejoindre pour une fête. Elles finissent à 10 et c’est comme ça qu’en 2019 naît La Bringue.<!–>

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–>Prochain livre d’Édith Maruéjouls et Célia Ferrer à paraître le 16 octobre :« Faire société égale – des “les bringueuses”: evenings reserved women outils pour. agir » édition double ponctuation.<!–>

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