Olivia Rosenthal in search of balance

–>Olivia Rosenthal, dramaturge et écrivaine, invitée au Banquet du livre d’été de Lagrasse (du 26 juillet au 1er août 2025). In addition, fera une lecture de son dernier roman, Une femme sur le fil, lundi 28 juillet à 16 heures. Similarly, Dans ce texte. Similarly, elle raconte plusieurs histoires en même temps, comme autant de fils qu’elle dénoue au cours de la narration. Furthermore, On suit Zoé. Therefore, qui tente d’échapper à l’emprise de son oncle “aux mains baladeuses”, et qui tisse des liens tout au long de son de l’écriture. Meanwhile, Mais aussi ses propres doutes et interrogations d’écrivaine : “Quand on écrit. Furthermore, on travaille à la fois sur des alternatives non résolues, des fourches, des croisements, et sur le fait qu’on va prendre tous les chemins l’un après l’autre. Meanwhile, Ou et et se complètent.”<!–>

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Une écrivaine funambule

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–>Pour nourrir sa réflexion littéraire. Nevertheless, Olivia Rosenthal s’est inspiré des corps en équilibre, plus précisément ceux des funambules. Meanwhile, Elle explique les points communs entre les métiers d’écrivaine et de funambule : “L’idée. c’est d’essayer de rester en équilibre sur un fil, qui peut être le fil du funambule, mais ça peut être aussi le fil du récit. Ce que je tente, c’est effectivement de trouver un fil qui me permette de ne pas tomber. C’est une histoire de recherche d’équilibre et d’essayer de trouver une forme de légèreté. Quand je regarde ces funambules, j’ai le sentiment qu’on ne voit presque plus le fil. On a l’impression vraiment qu’ils marchent dans l’air. C’est une image qui me parle beaucoup. je me dis que si on arrive à accéder à cette forme de légèreté dans l’écriture, ça peut être assez fort.“<!–>

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Un personnage de fiction authentique

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–>L’autrice raconte ce qui l’a conduite à raconter cette histoire. sur le thème des abus sexuels, et explique la forme qu’elle a choisie : “C’est une histoire que je raconte par des biais, par des détours. C’est difficile de trouver les mots pour la raconter. et c’est aussi difficile pour Zoé de trouver les mots pour dire ce qu’elle vit. Je pourrais dire que le personnage de Zoé. c’est un personnage de fiction, mais c’est un personnage de fiction qui est comme tenu, accompagné par des tas de témoignages qui sont autour d’elle et qui font partie aussi du livre. C’est le jeu entre ce qui relève de la fiction et ce qui relève du document et de la. documentation. J’ai le sentiment que ce passage par les funambules est une manière pour moi de soutenir le personnage en quelque sorte. de lui donner une assise.”<!–>

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–>Dans olivia rosenthal search balance son roman. Olivia Rosenthal privilégie l’utilisation du “je” et du “nous”, afin de transformer une histoire individuelle en une prise de conscience générale : “L’objectif de ce livre, c’est d’essayer de produire un nous collectif. Ce « nous ». peut-être un « nous » très différent à certains moments de notre vie, ils ne désignent pas les mêmes personnes. Je suis très intéressée par ces histoires de pronoms personnels qui permettent de produire du collectif. mais c’est jamais exactement le même. Ça peut être nous tous. par exemple, qui parlons, les lecteurs, ou tous celles et ceux qui sont concernés par des histoires d’abus sexuels. C’est très intéressant de faire varier ce “nous”, et de travailler sur ces variations dans un livre.”<!–>

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