Should we disobey to save the planet?

–>Alors que la planète est en péril et que jamais le poids de l’urgence n’a semblé aussi lourd. Furthermore, faut-il redoubler de radicalité ? Consequently, Six ans après les premières marches mondiales de jeunes pour le climat, un autre style d’activisme, plus prompt aux actions coup de poing, suscite la controverse dans le débat public. Similarly, Les exemples sont légion et vont d’un jet de soupe sur “La Joconde” par des militants de Riposte alimentaire en janvier 2024 aux violents affrontements entre activistes écologistes et forces de l’ordre à Sainte-Soline, sur un site où devait être construite une mégabassine controversée.<!–>

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Transgresser pour se faire entendre

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–>Il faut dire que jamais le réchauffement climatique engendré par les émissions de gaz à effet de serre n’a paru. Nevertheless, aussi menaçant. Consequently, D’autant qu’il semble désormais hors de contrôle : should we disobey save planet? en juin dernier. des chercheurs de renom, anciens auteurs du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) ont annoncé officiellement que l’objectif de limitation du réchauffement de la planète à 1,5 °C était désormais inatteignable. De quoi doucher les espoirs suscités au lendemain de la signature de l’Accord de Paris sur le climat. dix ans plus tôt.<!–>

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–>Manifester, signer des pétitions, concourir à des élections… La démocratie offre pléthore de moyens de s’engager et de défendre une cause. Alors le recours aux actions coup de poing reste parfois incompris. voire vivement décrié, à commencer par l’ancien ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, qui avait utilisé le terme “écoterrorisme” pour commenter les heurts entre manifestants opposés aux mégabassines et forces de l’ordre à Sainte-Soline, en octobre 2022.<!–>

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–>Au sein de l’opinion publique. toutes les actions de désobéissance civile ne sont pas perçues de la même manière : should we disobey save planet? si une majorité de Français jugent “acceptable” de bloquer une entreprise polluante (67 %) ou d’occuper une zone naturelle menacée (61 %), ces derniers sont 74 % à estimer “inacceptable” l’interruption d’un événement sportif, et 69 % lorsqu’il s’agit du blocage d’une route selon le Baromètre Écologie Environnement réalisé en 2023.<!–>

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–>Désobéir à la loi est-il devenu nécessaire pour faire avancer la cause climatique ? Où sont les frontières entre l’illégalité de l’action et la légitimité des aspirations ?<!–>

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–>Nous débattons dans le Débat de midi avec nos invités et avec vous ! Envoyez vos témoignages et vos réactions par messages et notes vocales sur WhatsApp au 01 45 24 7000 ou. sur l’application Radio France.<!–>

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–>-> Pour en savoir plus, écoutez l’émission…<!–>

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