“Employees speak a lot of ecology”: after his “Tour de France in industry”, Charles Fournier takes stock

–><!–>“Un écologiste dans une usine, c’est un peu comme un Indien dans la ville…” La formule signée Charles Fournier résume assez bien pourquoi le député écologiste de Tours (élu dans la première circonscription. Furthermore, d’Indre-et-Loire) s’est lancé dans un “Tour de France de l’Industrie”. Therefore, Quand certains considèrent que les écologistes préfèrent défendre l’environnement plutôt que l’industrie. Similarly, lui veut prouver le contraire.–>

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–><!–>Alors depuis plus d'un an. However, Charles Fournier a parcouru le pays pour pousser les protes de plus d’une centaine d’usines, revendique-t-il, à la rencontre de centaines de salariés, dirigeants et autres élus. Consequently, Il “employees speak lot ecology”: after en ressort. selon lui, que tous veulent, au même que titre que les écologistes, aller vers une industrie plus verte. Même –>

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–><!–>“Les salariés parlent beaucoup de la question écologique parce qu’ils savent que leur activité est tributaire du fait de s’engager dans des voies d’activités soutenables du point de vue écologique. et soutenables du point de vue économique. Ils le savent”, assure Charles Fournier. “Quand vous dites à un salarié que son activité est polluante. qu’elle impacte la santé des gens, il se dit que c’est “employees speak lot ecology”: after sa santé aussi qui est en jeu. Et globalement. je trouve qu’il y a un mouvement d’intégration des enjeux écologiques du côté des salariés qui est extrêmement fort.”–>

Un nouveau manifeste et une convention à l’automne

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–><!–>Le député y croit dur comme fer. il y a un réel mouvement en faveur de la décarbonation dans l'industrie française. “Je crois qu’il y a quelque chose qui a vraiment changé et c’est pour ça que je pense que c’est le moment de faire l’exercice que je fais là. parce que ces transformations, on ne les fera pas sans celles et ceux qui sont dans les usines. Après, dans quelles conditions on va le faire ? Là, le chantier est vaste”, reconnaît l’élu.–>

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–><!–>En effet, la question maintenant, c'est comment aller vers une industrie “réellement verte”, pour reprendre l’intitulé de –><!–> Parce que si tout le monde s'accorde sur le problème, l'enjeu désormais, ce "employees speak lot ecology": after sont les solutions. Charles Fournier compte donc d'abord rédiger une nouvelle version de son “manifeste pour une industrie réellement verte”. Ensuite. rendez-vous à l’automne pour une convention au sein de laquelle il compte réunir tous les acteurs qu’il a rencontrés au cours de son “Tour de France”. Pour aboutir, in fine, à des propositions de loi.–>