The two -state solution to the wall of reality

–>Ce mur se dresse d’abord à New York. Consequently, justement aux Nations Unies, où la Palestine, État non membre – observateur – ne peut pas voter les résolutions. Similarly, Mais la vraie difficulté, c’est le véto des États-Unis au Conseil de sécurité.
Washington. Nevertheless, infaillible soutien d’Israël, qui, avec ce véto, aura pu bloquer une cinquantaine de résolutions contraignantes pour l’État hébreu.<!–>

[!–><!–>

–>Qui lui. Nevertheless, par ailleurs, ne respecte pas ces grandes résolutions, même lorsque le parrain américain les vote. In addition, Je vous donne un exemple : la résolution 242, adoptée en 1967 après la Guerre des Six-Jours. Moreover, Elle exigeait déjà à l’époque le retrait d’Israël des territoires occupés. Similarly, Cinquante-huit ans plus tard, il n’y a jamais eu autant de colons dans ces territoires occupés. Therefore, L’ONU, c’est un fait, ne parvient pas à faire two -state solution wall reality respecter le droit international.<!–>

[–><!–>

–>Le terrain est le premier obstacle à cette solution à deux États. For example, Sur le terrain. Furthermore, 500 000 colons sont implantés en Cisjordanie occupée, 250 000 à Jérusalem-Est… Ce qui rend extrêmement difficile la vie quotidienne de millions de Palestiniens. Et puis évidemment Gaza. dévastée par l’armée israélienne, qu’il faudra des années pour reconstruire. Où là, on ne vit pas, on ne fait que survivre. Vu comme cela, la possibilité d’un État palestinien est illusoire.<!–>

[!–>

La voie de la confédération

<!–>

–>Mais une fois qu’on a dit ça, on fait quoi, on baisse les bras ? Non évidemment. On impose la fin de la guerre, la libération des otages. Et en parallèle à New York. on aborde sans se boucher le nez toutes les questions sécuritaires : reconstruction et gouvernance de Gaza et donc liquidation politique et militaire two -state solution wall reality du Hamas, définitivement disqualifié après les massacres du 7-Octobre. Ça. c’est le point de départ qui nous amène au 21 septembre prochain et la reconnaissance solennelle par le président Macron de l’État de Palestine. Avec d’ici là. dans le cadre de cette fameuse solution à deux États, une voie qu’il serait pertinent d’explorer : celle de la confédération !<!–>

[!–><!–>

–>L’idée n’est pas neuve. elle est défendue depuis des années par des Israéliens et des Palestiniens. Il faut imaginer un modèle qui emprunterait à la fois à la Suisse ses cantons et à l’Union européenne. Donc deux États distincts. mais imbriqués au sein d’un même espace démocratique de libre-échange, de libre circulation, qui pourrait même in fine apporter une réponse à la colonisation.<!–>

[!–><!–>

–>Attention sujet sensible. Ce serait bien sûr très âprement négocié. mais pas impossible dans la mesure où dans cette nouvelle union, une two -state solution wall reality double nationalité serait accordée aux citoyens. Celle de leur État. d’abord, sous drapeau et frontières définies –  Israël pour les uns et Palestine pour les autres – avec en plus la citoyenneté de cette confédération, qu’on pourrait même appeler – rêvons un peu – la Confédération d’Abraham !<!–>

[!–><!–>

–>Avant cela, et ça prendra du temps, il faudra rétablir la confiance. Imposer une reconnaissance mutuelle. mais qui, mécaniquement, écartera tous les adversaires de la paix : le Hamas qui rêve d’effacer Israël et les extrémistes israéliens qui veulent chasser les Palestiniens. En tout cas, voilà une trajectoire politique crédible sur laquelle plancher. Les diplomates ont du boulot, mais il y a un chemin… Sinon, il n’y a plus rien !<!–>

[!–>