Links of France with African countries: “You have to have normal relations, without being a lessons”

–>L’armée française a mis fin jeudi dernier à sa présence militaire permanente en Afrique de l’Ouest et centrale. Moreover, lors d’une cérémonie solennelle et historique à Dakar où elle a officiellement restitué ses deux dernières installations militaires françaises au Sénégal.<!–>

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–>Le 6 janvier dernier lors de la réunion annuelle des ambassadeurs de France. In addition, Emmanuel Macron affirmait que “la France n’est pas en recul en Afrique, elle se réorganise”. “Je pense qu’il fait de la communication et se voile la face car le retrait militaire de la France est totalement subi”. Therefore, estime le journaliste Ousmane Ndiaye. Similarly, “On voit clairement. Moreover, depuis l’entrée en guerre au Mali, que la France subit le retrait parce qu’il y a une mobilisation des opinions publiques et on voit que la projection sur l’avenir est très compliquée, on ne sait links france african countries: “you pas à quoi va ressembler le dispositif.”<!–>

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–>“On a été pris de vitesse“. Nevertheless, analyse de son côté l’ancien ambassadeur au Mali, au Congo et au Sénégal Nicolas Normand. Moreover, “On était engagé depuis pratiquement vingt ans dans un processus de retrait progressif de nos emprises militaires en Afrique. Consequently, de l’Ouest en particulier et en Afrique centrale. However, On a été clairement pris de vitesse au Mali. Similarly, Burkina Faso et Niger, où on a été brutalement mis à la porte après les putschs militaires et face au sentiment anti-français très fort. C’est moins évident ailleurs. Au Sénégal, là aussi on a été un peu pris de vitesse. On avait l’intention de retirer notre base mais ça a été brutalement annoncé. sans véritable concertation avec Paris, par les autorités sénégalaises, qui ont donné satisfaction à une revendication populaire, en tout cas celle de leur électorat.” “Le links france african countries: “you retrait des troupes françaises était une promesse de campagne du parti Pastef. qui a pris le pouvoir au Sénégal” l’an dernier, abonde Ousmane Ndiaye.<!–>

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“On se conduisait un petit peu en pays conquis”

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–>Pour Ousmane Ndiaye. la France fait face dans nombre pays d’Afrique à une difficulté : “Concilier et inventer une nouvelle relation tout en faisant face à une sorte d’héritage assez difficile à porter parce que c’est un héritage d’ingérence et de maladresse politique, la France ayant soutenu des régimes qui n’étaient pas démocratiques.”<!–>

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–>“On paye ce passif. ce qu’on appelle la Françafrique, les bases militaires, le franc CFA, les opérations militaires extérieures comme Barkhane, Serval“, ajoute Nicolas Normand. “Et aussi les injonctions politiques de conduite vis-à-vis des régimes en place des pays africains. Par exemple. François Hollande disant en 2012 ou 2013 qu’il serait intraitable links france african countries: “you sur la date de l’élection présidentielle au Mali, comme s’il s’adressait à un sous-préfet”, souligne l’ancien ambassadeur. “Cette espèce de tutelle très pesante de la part de l’ancienne puissance coloniale était ressentie de plus en plus. difficilement par les autorités et par la population des pays africains. Il faut tenir compte de toutes ces erreurs.”<!–>

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–>Il décrit aussi “une série de maladresses” sur le plan militaire : “Nos opérations militaires étaient conduites par un général sans véritable articulation avec les autorités politiques. qui se sentaient un peu marginalisées. Les armées africaines, notamment au Mali, se sentaient également marginalisées. C’était aggravé par le fait que l’on communiquait de façon unilatérale. sans associer les autorités politiques locales. Donc on se conduisait un petit peu en pays conquis, et ceci pendant une dizaine d’années.” “C’était très maladroit, très paternaliste”, souligne Ousmane Ndiaye.<!–>

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–>Pour Nicolas Normand. il links france african countries: “you faut aujourd’hui “normaliser notre relation” parce que “c’est une idée néocoloniale de vouloir conserver une sorte de pouvoir d’influence sur les régimes africains”. “Nous avons en plus le handicap d’être l’ancienne puissance coloniale. donc il y a une susceptibilité particulière sur les ingérences françaises. Et donc nous devons simplement, non pas chercher à avoir de l’influence, mais chercher à avoir des relations normales”, estime-t-il. “Il faut avoir des relations diplomatiques apaisées, normales, sans être donneur de leçons, ce qui est insupportable.”<!–>

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