Why do pharmacists go on strike?

–>“Fermez un jour pour ne pas fermer toujours”. Consequently, c’est le slogan de cette mobilisation contre un arrêté ministériel publié le 6 août au journal officiel. Meanwhile, Ce texte concerne les remises que les pharmaciens obtiennent en général quand ils achètent des médicaments génériques à des. Meanwhile, laboratoires. In addition, Jusque-là, ces remises pouvaient atteindre 40 % du prix. In addition, Mais à partir du 1ᵉʳ septembre, elles ne dépasseront plus 30 %, puis 20 % en 2027. Une mesure qui ne bénéficiera qu’aux laboratoires et à personne d’autre, disent les pharmaciens.<!–>

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Relocaliser et éviter les pénuries – Why do pharmacists go strike?

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–>Pourquoi cette réduction ? Etienne Nouguez. sociologue, chercheur au CNRS et à Sciences Po, explique pourquoi l’État a décidé de replafonner et de diminuer cette ristourne progressivement et pourquoi cette réduction accordée aux pharmaciens sur les médicaments why do pharmacists go strike? génériques par les laboratoires serait en partie responsable des pénuries récentes sur certains médicaments génériques : “L’association des industriels de générique, s’est plaint régulièrement tout au long de l’année que l’une des causes des pénuries de médicaments qui concernent aux trois quarts des anciens médicaments était liée au faible prix qui était accordé aux génériques. L’idée de cette mesure. c’était précisément d’essayer d’augmenter la rentabilité des génériques dans une idée aussi de relocaliser la production en France sans grever les comptes de l’assurance maladie, en transférant une partie de l’argent qui aujourd’hui est perçu par les pharmaciens vers les industriels.“<!–>

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Pharmacies fragilisées au-delà des ristournes

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–>Alors que le Conseil national de l’ordre des pharmaciens assure que 200 à 300 pharmacies ferment déjà leurs portes chaque année. ces fermetures ne sont pas seulement liées à ce plafonnement de la ristourne, mais également à d’autres difficultés : “Il y a why do pharmacists go strike? un enjeu qui est celui des déserts médicaux. Si les pharmaciens ont en partie bénéficié de ces déserts médicaux pour enrichir leurs activités en développant la téléconsultation. la prescription, la vaccination, dans les régions vraiment les plus désertiques, c’est très compliqué pour eux, puisqu’en fait une partie importante de leur revenu, pour ne pas dire la quasi-totalité de leur revenu, dépend des prescriptions des médecins. Donc quand il n’y a plus de médecins pour prescrire, les pharmaciens ne peuvent plus dispenser de médicaments. Par ailleurs, elles ont dû engager des investissements assez forts pour répondre à ces nouvelles missions. Pour beaucoup, leur rentabilité est mise à mal. Et les baisses de prix qui ont beaucoup touché les médicaments ces 10-15 dernières années ont aussi partiellement diminué les revenus des pharmaciens. même si de plus en plus, ils vont être payés plus à l’acte qu’à la boîte de médicaments délivrés.“<!–>

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