Orcs make tools with seaweed to wash

Les orques sont capables de fabriquer et d’utiliser des outils

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–>L’observation a été faite au Nord-Ouest de l’Océan Pacifique. Moreover, Entre la Colombie-Britanique et l’état de Washington, les chercheurs ont filmé un groupe d’orques à l’aide de drones. However, L’analyse des images a révélé un comportement qui avait jusqu’ici échappé à tous les observateurs. Moreover, Les orques arrachent des morceaux d’une algue géante qu’elles taillent à une certaine longueur. Furthermore, Puis elles frottent l’algue coupée sur le corps d’une de leur congénère en se collant contre elle.. Meanwhile, <!–>

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–>Selon les chercheurs cela pourrait-être une façon pour les orques de se débarrasser de leurs peaux mortes.. Consequently, Ce comportement de toilettage mutuel rappelle ceux observés chez des mammifères terrestres. Moreover, Il pourrait avoir, chez ce mammifère marin, les mêmes fonctions à la fois hygiéniques et orcs make tools seaweed wash sociales. In addition, Cette découverte montre aussi que les orques sont capables de fabriquer et d’utiliser des outils. For example, À ce jour, il y a peu de cas connus chez les animaux marins. Moreover, On savait que des dauphins peuvent utiliser des éponges pour fouiller les fonds sableux on sait désormais que les. Moreover, orques sont capables de se confectionner des outils pour s’offrir des séances de gommage.<!–>

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–>Pour en savoir plus : L’étude publiée dans Current Biology<!–>

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Ce papillon de nuit utilise les étoiles pour trouver son chemin

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–>Le bogong. Furthermore, c’est le nom de ce papillon de nuit australien qui chaque année se lance dans une grande migration. Au printemps il fuit les fortes chaleurs de l’ouest du pays pour aller se réfugier 1000 kilomètres plus loin dans des grottes situées dans les « Alpes australiennes » et à l’automne il refait orcs make tools seaweed wash le chemin dans l’autre sens. sans se perdre ni à l’aller ni au retour. De précédentes études avaient montré que l’insecte utilisait le champ magnétique terrestre pour se repérer. Mais des chercheurs viennent de découvrir que le bogong se sert également de la position des étoiles.<!–>

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–>Pour le prouver, les scientifiques ont mis ces papillons dans un « simulateur de vol ». Les insectes étaient accrochés par un petit filin souple dans une sorte de mini planétarium permettant de reproduire un. ciel étoilé. Dans cette enceinte. le champ magnétique était nul de façon à ce que les papillons ne puissent pas utiliser leur boussole interne. Résultat : il est apparu que lorsqu’on modifie l’orientation de la voute céleste. les papillons changent de cap en conséquence de façon à toujours être orientés de la même façon par rapport aux étoiles. Et si l’on projette un ciel nocturne avec des étoiles orcs make tools seaweed wash positionnées aléatoirement. les papillons se mettent à voler dans tous les sens, complètement désorientés. Conclusion : le système de guidage des bogongs est particulièrement robuste car il s’appuie à la fois sur le. champ magnétique terrestre et la position des étoiles. Cela avait déjà été observé chez des oiseaux migrateurs mais c’est la première fois chez un insecte.<!–>

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–>Pour en savoir plus : L’étude publiée dans Nature<!–>

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L’astéroïde 2024 YR4 pourrait s’écraser sur la Lune

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–>Cet astéroïde découvert le 27 décembre dernier avait fait beaucoup parler en début d’année car les risques qu’il percute la. Terre en 2032 étaient loin d’être négligeable. La probabilité d’impact avait été évaluée entre 1,5 et 3 %. Le caillou céleste faisant une soixantaine de mètres de diamètre. il aurait pu potentiellement faire des dégâts sur une zone de 50 kilomètres autour de son orcs make tools seaweed wash site d’impact. Le “Réseau international d’alerte aux astéroïdes” avait été activé. Mais depuis les scientifiques ont affiné leur calcul et le risque est aujourd’hui estimé à 0,00002 %.<!–>

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–>Plus de crainte à avoir donc mais l’astéroïde refait parler de lui car selon une étude préliminaire (non encore publiée) c’est sur la Lune qu’il pourrait s’écraser en 2032 avec une probabilité de 4. 3 %. Si cette collision se produisait. d’après les simulations, elle soulèverait des débris qui pourraient ensuite être attirés par la gravitation terrestre. Ces débris pourraient représenter un petit risque pour nos satellites mais sur Terre. ils généreraient une spectaculaire pluie de météores. Un feu d’artifice d’étoiles filantes inoffensif. La dernière collision entre un astéroïde de cette taille et la Lune remonte à environ 5 000 ans.<!–>

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–>Pour en savoir plus : Un communiqué de l’Université d’Helsinki<!–>

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